Le monde de la médecine moderne est complexe, voire déroutant. Mais si l’on creuse un peu, on découvre que de nombreux chemins mènent à une seule direction : l’influence et le pouvoir de big pharma. Et pour comprendre pleinement cette emprise, il est indispensable de revenir sur les origines de cet empire, sur l’héritage de John D. Rockefeller.
L’émergence de Rockefeller et la naissance d’un empire
John D. Rockefeller, à travers ses diverses entreprises, a joué un rôle déterminant dans la création de l’industrie pharmaceutique moderne. Il ne s’agissait pas seulement d’un magnat du pétrole, mais aussi d’un maître manipulateur qui a su influencer les masses par la consommation de produits pétroliers.
En manipulant habilement le marché et en établissant des monopoles, Rockefeller a su créer une base solide pour son empire, qui perdure aujourd’hui.
Mais là où les soupçons de corruption entrent en jeu, c’est dans la manière dont ces monopoles ont été établis et maintenus.
Les zones d’ombre de l’industrie pharmaceutique
Cette situation rappelle le dilemme des traitements alternatifs face à big pharma. Si les tests ne sont pas effectués dans des laboratoires approuvés, ils sont souvent discrédités ou rejetés. Et même lorsque les tests sont effectués indépendamment, à grands frais, leurs résultats peuvent être ignorés ou rejetés.
Mais l’influence de big pharma ne s’arrête pas là. Avec plus de 1270 lobbyistes, cette industrie exerce une influence énorme sur le gouvernement. De plus, la rotation des cadres entre les grandes entreprises pharmaceutiques et les organes gouvernementaux tels que la FDA soulève des préoccupations majeures en matière d’éthique et de conflit d’intérêts.
Déclin de la Médecine allopathique
Au fil des années, l’influence tentaculaire de Big Pharma, largement soutenue par les initiatives et les investissements de l’héritage Rockefeller, a marginalisé de nombreuses formes traditionnelles et holopathiques de traitement.
À l’origine, la médecine était fortement ancrée dans les approches naturelles, où les plantes médicinales et les remèdes à base d’herbes dominaient les prescriptions. Cependant, avec l’émergence d’un modèle de profit lié à la production de médicaments, un virage décisif a été pris vers des solutions plus industrielles et brevetables.
Ce changement n’était pas seulement économique, mais s’est étendu à la formation médicale et à la recherche. Les établissements financés par Rockefeller ont promu une vision de la médecine centrée sur les produits pharmaceutiques, réduisant ainsi l’importance des remèdes naturels dans le curriculum.
Le résultat ? Une génération de médecins formés à croire que les solutions synthétiques sont supérieures, souvent au détriment de remèdes plus naturels et holistiques.
Cette évolution a non seulement diminué la diversité des traitements disponibles, mais a également mis de nombreux patients dans une dépendance accrue vis-à-vis des médicaments coûteux, favorisant ainsi les intérêts économiques de Big Pharma.
L’amer goût de la vérité
La réalité est que big pharma, pour augmenter ses profits, a parfois supprimé des informations essentielles qui pourraient sauver des vies. Que ce soit à travers des crises comme celle des opioïdes ou en supprimant des remèdes potentiels contre le cancer, la recherche du profit semble primer sur le bien-être des patients.
En fin de compte, la question se pose : big pharma est-elle véritablement au service de la santé publique ou sert-elle ses propres intérêts ?
À travers l’histoire de Rockefeller et les pratiques contemporaines, il semble que la réponse penche vers la seconde option.
vidéo: Quantum Leap Traduction
Comment Rockefeller a fondé Big Pharma et fait la guerre aux remèdes naturels
Rockefeller et l’industrie pharmaceutique
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