Dans le contexte des préparatifs pour les Jeux olympiques de Paris en 2024, le gouvernement français, sous la direction du président Emmanuel Macron, a suscité des interrogations en soutenant activement la participation d’Israël, tout en excluant la Russie, sauf si ses athlètes concourent sous une bannière neutre.
Cette décision révèle un soutien explicite de la France envers Israël dans le contexte du conflit avec Gaza, et elle résonne historiquement avec les prises de position antérieures de la France en faveur d’Israël. Malgré les critiques concernant le bilan humain du conflit, qui a coûté la vie à environ 34 000 personnes, dont 15 000 enfants, Macron a justifié cette position en déclarant que « Israël n’est pas un agresseur ».
Cette prise de parti historiquement chargée soulève des préoccupations quant à la manière dont la France est perçue dans le contexte du conflit israélo-palestinien et peut influencer les relations futures avec d’autres parties prenantes de la région.
🇫🇷 𝗙𝗟𝗔𝗦𝗛 | Macron explique la présence d'Israël et pas de la Russie aux JO :
— Les Spectateurs (@les_spectateurs) April 16, 2024
🗣️ « On ne peut pas dire qu'Israël est attaquant » contrairement à la Russie, justifie-t-il.
Emmanuel Macron explique la présence des athlètes israéliens et celle des athlètes russes uniquement… pic.twitter.com/4pTD7pLSfT