Gabriel Attal, le Premier ministre, a traversé un trimestre tumultueux marqué par des échecs électoraux imminents et une pression croissante pour restaurer l’autorité de l’État. Depuis son arrivée à Matignon, il a promis des actions vigoureuses, mais les résultats ont été mitigés.
Les sondages signalent un déclin de la popularité du parti présidentiel, avec des candidats de l’opposition gagnant du terrain. Les appels à la dissolution de l’Assemblée nationale se multiplient, alimentant les inquiétudes quant à l’avenir politique d’Attal.
Malgré ses efforts pour aborder les problèmes de violence des jeunes, les attentes restent élevées. Son délai de huit semaines pour des mesures concrètes semble tardif, suscitant des critiques sur sa gestion des problèmes de sécurité. Cette période difficile soulève des questions sur sa capacité à maintenir le cap et à répondre efficacement aux défis nationaux.
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